Quia tué le petit vieux des Batignolles ? Une enquête du policier Méchinet. Un polar, un vrai, dans le Paris du Second Empire. Frais de port à 0,01€ dès 15€ d'achat Site 100% français Tous les livres depuis 1997
ÀParis, dans le quartier des Batignolles, on découvre un petit vieux assassiné chez lui. Des lettres tracées dans son sang désignent le meurtrier. Mais Méchinet en a vu d'autres ! Assisté de Godeuil, un jeune étudiant en médecine, le policier émet quelques réserves sur cette culpabilité toute trouvée Commence alors une palpitante enquête pour réfuter
Romanpolicier. "Par une chaude nuit d'août 1895, la chute d'une météorite en forêt de Montmorency bouleverse le train-train du libraire-enquêteur Victor Legris, de son père adoptif Kenji Mori, et de Joseph Pignot, ancien commis récemment promu associé. Cet événement spectaculaire entraîne, suite à un rocambolesque concours de circonstances,
Lisez« Le Petit Vieux des Batignolles » de Emile Gaboriau disponible chez Rakuten Kobo. Un crime - le meurtre d'un homme ayant écrit de son propre sang les lettres «Monis», un policier-enquêteur et pour finir
EmileGaboriau. A Paris, dans le quartier des Batignolles, on découvre un petit vieux assassiné chez lui. Des lettres tracées dans son sang désignent le meurtrier. Mais Méchinet en a vu d
3Lors du bombardement de mai 1944, le Soleil compte à peu près 330 bâtiments. Sur ce total, 305 au minimum (soit 92 %) ont été construits avant 1914. Entre 1826 et 1914, le mouvement de la construction neuve (305 maisons) et des accroissements de construction (105 opérations enregistrées) se décompose en trois phases : deux phases de forte
Elledormit là, au milieu des miettes du dîner. Et, toute la nuit, dans le sommeil écrasé des Coupeau, cuvant la fête, le chat d’une voisine qui avait profité d’une fenêtre ouverte, croqua les os de l’oie, acheva d’enterrer la bête, avec le petit bruit de ses dents fines. Chapitre suivant : VIII.
Liensutiles. Présentation du livre publié en 1907 (et des nouvelles publiées séparément, voir dates et couvertures des revues).; Édition en ligne du texte (reprise de celle de 1907).; Nombreux films depuis 1914 !; Série télévisée en 26 épisodes (1971-1974), avec Georges Descrières (acteur décédé en 2013) : L’arrestation d’Arsène Lupin est une
Images) fournie(s) par le vendeur. Agrandir les images LE PETIT VIEUX DES BATIGNOLLES UN CHAPITRE DES MEMOIRES D'UN AGENT DE LA SURETE - COLLECTION CHEFS D'OEUVRE PARTICULIERS. GABORIAU. Edité par GRUND, 1946. Etat : bon Couverture souple. Mettre de côté . Vendeur Le-Livre (SABLONS, France)
LePetit Vieux des Batignolles Emile Gaboriau (Auteur) Virginie Berthemet (Illustration) Paru en avril 2012 Scolaire / Universitaire (broché) en français. 4.5 11 avis Résumé; Détails produits; Garanties; Accessoires inclus; Date de parution: avril 2012
lRFUKO. 3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 0719 Émile Gaboriau 1832-1873 fut un des précurseurs de la Littérature policière. “L’affaire Lerouge” et “Monsieur Lecoq” établirent quelques-unes des bases du roman d’énigme. Gaboriau était conscient de l’aspect ludique du mystère “Le rôle du lecteur est de découvrir l’assassin. Le rôle de l’auteur est de dérouter le lecteur. Voilà toute ma science.” Réédité en 2009 dans la collection Piccolo, chez Liana Levi, “Le petit vieux des Batignolles” est un roman court méritant d’être redécouvert. Paris, 19e siècle. Étudiant en médecine, Godeuil a sympathisé avec le voisin qui l’intriguait tant, Monsieur Méchinet. Cet homme semblant mener une vie agitée s’avère être un policier. Ce jour-là, un crime ayant été découvert au 39 rue Lécluse, le duo se précipite sur les lieux. C’est un vieux monsieur aisé, ancien coiffeur, que l’on a poignardé dans son appartement. Traçant le début d’un nom avec son sang, la victime a désigné son assassin. Il s’agit de Monistrol, neveu et héritier du vieux monsieur. D’ailleurs, la concierge l’a vu arriver vers neuf heures et repartir à minuit. Pourtant, Godeuil remarque que la victime a écrit ces signes de la main gauche, ce qui parait improbable. En outre, l’étudiant diagnostique une mort immédiate du poignardé. Pendant ce temps, Monistrol a été arrêté à son domicile. Tout de suite, il a admis son crime. Sa séduisante épouse Clara a eu beau protester de l’innocence de son mari, on a mis le suspect en cellule à la Préfecture. Godeuil offre au policier Méchinet un bon indice, un bouchon oublié qui servit à protéger la lame du poignard. La concierge témoigne que le vieux monsieur, bien que fort aimable, se refusait à avancer la moindre somme d’argent au couple Monistrol. Elle confirme avoir vu passer la silhouette du neveu, ainsi que son fidèle chien, le soir du meurtre. Méchinet et Godeuil se rendent ensuite au Quai des Orfèvres, où le suspect affirme toujours être coupable. Des aveux incertains, car il ignore visiblement tout des faits réels. À moins qu’il ne joue la comédie ? Caroline Méchinet, l’épouse du policier, expose à son mari et à leur jeune voisin son opinion sur l’affaire. Pour elle, si Monistrol est bien le coupable, la belle Clara serait l’instigatrice du crime. Manquant d’expérience mais pas de réflexion, l’étudiant Godeuil reste convaincu de l’innocence du suspect. Il accompagne le policier dans le quartier où les Monistrol tiennent une modeste boutique. Rusant avec les commerçants du voisinage, constate que Monistrol est estimé de tous. L’opinion sur sa femme Clara est plus mitigée, mais sans rumeur négative à son encontre. Mme Monistrol les reçoit quelque peu théâtralement dans sa boutique. Il se confirme que son mari n’a pas d’alibi pour la soirée du meurtre, tandis qu’elle possède plusieurs témoins. Godeuil se demande si le désespoir de la jeune femme est vraiment sincère. Le policier Méchinet doit se montrer subtil pour découvrir la piste déterminante… Écrit vers 1870, ce court roman apparaît aujourd’hui comme l’archétype du récit d’enquête. On peut y détecter beaucoup d’éléments dont se serviront plus tard d’autres romanciers, de Sherlock Holmes le narrateur préfigure Watson à Georges Simenon personnages issus de la population-type, bourgeois ou petites gens. On a même un policier qui s’oppose à la version acceptée par sa hiérarchie, ce qui rappelle bon nombre de romans plus récents, parfois noirs. On devine que Gaboriau veut éviter certains effets trop faciles, courants dans le roman populaire d’alors. Nous avons ici l’ambiance parisienne de l’époque et une intrigue fort habile, avec toutes les hypothèses nous venant à l’esprit. Lire “Le petit vieux des Batignolles”, ce n’est pas seulement compléter sa culture-polar, c’est surtout une vrai plaisir. Publié par Claude LE NOCHER - dans Suspense Story
Lorsque j’achevais mes études pour devenir officier de santé –c’était le bon temps, j’avais vingt-trois ans – je demeurais rue Monsieur-le-Prince, presque au coin de la rue Racine. J’avais là, pour trente francs par mois, service compris, une chambre meublée qui en vaudrait bien cent aujourd’hui ; si vaste que je passais très aisément les manches de mon paletot sans ouvrir la fenêtre. Sortant de bon matin pour suivre les visites de mon hôpital,rentrant fort tard parce que le café Leroy avait pour moi d’irrésistibles attraits, c’est à peine si je connaissais de vue les locataires de ma maison, gens paisibles tous, rentiers ou petits commerçants. Il en est un, cependant, avec qui, peu à peu, je finis par me lier. C’était un homme de taille moyenne, à physionomie insignifiante,toujours scrupuleusement rasé, et qu’on appelait, gros comme lebras, monsieur Méchinet. Le portier le traitait avec une considération touteparticulière, et ne manquait jamais, quand il passait devant saloge, de retirer vivement sa casquette. L’appartement de monsieur Méchinet ouvrant sur mon palier, justeen face de la porte de ma chambre, nous nous étions à diversesreprises trouvés nez à nez. En ces occasions, nous avionsl’habitude de nous saluer. Un soir, il entra chez moi me demander quelquesallumettes ; une nuit, je lui empruntai du tabac ; unmatin, il nous arriva de sortir en même temps et de marcher côte àcôte un bout de chemin en causant… Telles furent nos premières relations. Sans être ni curieux ni défiant – on ne l’est pas à l’âge quej’avais alors – on aime à savoir à quoi s’en tenir sur le comptedes gens avec lesquels on se lie. J’en vins donc naturellement, non pas à observer l’existence demon voisin, mais à m’occuper de ses faits et gestes. Il était marié, et madame Caroline Méchinet, blonde et blanche,petite, rieuse et dodue, paraissait adorer son mari. Mais la conduite de ce mari n’en était pas plus il décampait avant le jour et souvent le soleil étaitlevé quand je l’entendais regagner son domicile. Parfois ildisparaissait des semaines entières… Que la jolie petite madame Méchinet tolérât cela, voilà ce queje ne pouvais concevoir. Intrigué, je pensai que notre portier, bavard d’ordinaire commeune pie, me donnerait quelques éclaircissements. Erreur !… À peine avais-je prononcé le nom de Méchinetqu’il m’envoya promener de la belle façon, me disant, en roulant degros yeux, qu’il n’était pas dans ses habitudes de moucharder »ses locataires. Cet accueil redoubla si bien ma curiosité que, bannissant toutevergogne, je m’attachai à épier mon voisin. Alors, je découvris des choses qui me parurent énormes. Une fois, je le vis rentrer habillé à la dernière mode, laboutonnière endimanchée de cinq ou six décorations ; lesurlendemain, je l’aperçus dans l’escalier vêtu d’une blousesordide et coiffé d’un haillon de drap qui lui donnait une minesinistre. Et ce n’est pas tout. Par une belle après-midi, commeil sortait, je vis sa femme l’accompagner jusqu’au seuil de leurappartement, et là l’embrasser avec passion, en disant – Je t’en supplie, Méchinet, sois prudent, songe à ta petitefemme ! Sois prudent !… Pourquoi ?… À quel propos ?Qu’est-ce que cela signifiait ?… La femme était donccomplice !… Ma stupeur ne devait pas tarder à redoubler. Une nuit, je dormais profondément, quand soudain on frappa à maporte à coups précipités. Je me lève, j’ouvre… Monsieur Méchinet entre, ou plutôt se précipite chez moi, lesvêtements en désordre et déchirés, la cravate et le devant de sachemise arrachés, la tête nue, le visage tout en sang… – Qu’arrive-t-il ? m’écriai-je épouvanté. Mais lui, me faisant signe de me taire – Plus bas !… dit-il, on pourrait vous entendre… Ce n’estpeut-être rien quoique je souffre diablement… Je me suis dit quevous, étudiant en médecine, vous sauriez sans doute me soignercela… Sans mot dire, je le fis asseoir, et je me hâtai de l’examineret de lui donner les soins nécessaires. Encore qu’il y eût eu une grande effusion de sang, la blessureétait légère… Ce n’était, à vrai dire, qu’une érafluresuperficielle partant de l’oreille gauche et s’arrêtant à lacommissure des lèvres. Le pansement terminé – Allons, me voilà encore sain et sauf pour cette fois, me ditmonsieur Méchinet. Mille remerciements, cher monsieur de grâce, ne parlez à personne de ce petit accident, et…bonne nuit. Bonne nuit !… Je songeais bien à dormir,vraiment ! Quand je me rappelle tout ce qu’il me passa par la cervelled’hypothèses saugrenues et d’imaginations romanesques, je ne puism’empêcher de rire. Monsieur Méchinet prenait dans mon esprit des proportionsfantastiques. Lui, le lendemain, vint tranquillement me remercier encore etm’invita à dîner. Si j’étais tout yeux et tout oreilles en pénétrant dansl’intérieur de mes voisins, on le devine. Mais j’eus beauconcentrer toute mon attention, je ne surpris rien de nature àdissiper le mystère qui m’intriguait si fort. À dater de ce dîner, cependant, nos relations furent plussuivies. Décidément, monsieur Méchinet me prenait en une semaine s’écoulait sans qu’il m’emmenât manger sasoupe, selon son expression, et presque tous les jours, au momentde l’absinthe, il venait me rejoindre au café Leroy, et nousfaisions une partie de dominos. C’est ainsi qu’un certain soir du mois de juillet, un vendredi,sur les cinq heures, il était en train de me battre à pleindouble-six, quand un estafier, d’assez fâcheuse mine, je leconfesse, entra brusquement et vint murmurer à son oreille quelquesmots que je n’entendis pas. Tout d’une pièce et le visage bouleversé, monsieur Méchinet sedressa. – J’y vais, fit-il ; cours dire que j’y vais. L’homme partit à toutes jambes, et alors me tendant la main – Excusez-moi, ajouta mon vieux voisin, le devoir avant tout…nous reprendrons notre partie demain. Et comme, tout brûlant de curiosité, je témoignais beaucoup dedépit, disant que je regrettais bien de ne le point accompagner – Au fait, grommela-t-il, pourquoi pas ? Voulez-vousvenir ? Ce sera peut-être intéressant… Pour toute réponse, je pris mon chapeau et nous sortîmes…
Un crime, un policier-enquêteur et, pour finir, un coupable. Classique ; mieux historique, puisque ce roman policier date de la fin du Second Empire.... Lire la suite 7,00 € Neuf Poche En stock 3,90 € Actuellement indisponible 6,30 € Ebook Téléchargement immédiat 2,99 € Téléchargement immédiat 1,99 € Téléchargement immédiat 3,49 € Téléchargement immédiat 3,49 € Téléchargement immédiat 0,00 € Grand format Expédié sous 2 à 4 semaines 18,40 € Actuellement indisponible 10,67 € Nouvelle édition Actuellement indisponible 7,00 € Définitivement indisponible Un crime, un policier-enquêteur et, pour finir, un coupable. Classique ; mieux historique, puisque ce roman policier date de la fin du Second Empire. Mais aussi un polar, un vrai, à lire d'une traite. Méchinet est le digne ancêtre des Sherlock Holmes, Hercule Poirot et autres Maigret. Débonnaire, attentif aux conseils de sa femme, frondeur à l'encontre des autorités supérieures, il avance, patiemment et infailliblement. Jusqu'au coupable. Date de parution 02/09/2005 Editeur Collection ISBN 2-86746-399-8 EAN 9782867463990 Format Poche Présentation Broché Nb. de pages 124 pages Poids Kg Dimensions 12,0 cm × 18,0 cm × 0,8 cm Biographie d'Emile Gaboriau Emile Gaborieau 1832-1873, né en Charente-Maritime, monte à Paris pour se lancer dans le journalisme. Après le succès de L'Affaire Lerouge Piccolo n° 8, paru en feuilleton dans Le Soleil, il est appointé pour un " roman judiciaire " par an. " Père de toute la littérature détective actuelle " pour Gide, il était, pour Kessel, " le précurseur du roman policier ". Le Petit Vieux des Batignolles, paru en 1876, est devenu un introuvable.
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