àžˆàž±àž”àž—àžłàč‚àž”àžąChantikaKunlawat No.4Junyapron Teangtrong No.3Kittiya misin No.29 LaVille de Saint-Pol-sur-Mer, avec la participation de ses habitants, organisera un grand Ă©vĂ©nement pour clĂŽturer en beautĂ© les 100 ans de la CitĂ© des Cheminots qui aura lieu les 25 et 26 juin Ă  la Ferme Marchand de Saint-Pol-sur-Mer. Plusieurs surprises attendent les habitants, qui pourront effectuer un retour vers 1922. Cequ’il se passe entre des choses et des groupes : la CitĂ© modĂšle Ă  Bruxelles. Dans son dernier ouvrage, L’espace, un objet central de la sociologie, Jean Remy, reprenant Émile Durkheim, Ă©voque les effets de milieu qui font naĂźtre des interdĂ©pendances entre des Ă©lĂ©ments de nature hĂ©tĂ©rogĂšne mais qui, nĂ©anmoins, ont en commun Ils'en passe des choses dans ma citĂ©. II n'y a qu'Ă  regarder. On voit de tout, on peut tout voir. Mais ce qu'on ne voit jamais dans ma citĂ©, c'est un regard. Un regard qui vous regarde et qui s'attarde. Les gens naissaient Les gens vivaient Les gens mouraient. Et moi, je restais sur mon banc de pierre, encadrĂ© par mes deux sacs. Je regardais. ÉdifiĂ©eĂ  PĂ©kin entre 1406 et 1420 par l’empereur Yongle, de la dynastie Ming, la CitĂ© interdite couvre 72 hectares (soit dix fois la taille de Versailles), ce qui en fait le plus grand Profitezdes longues soirĂ©es d’étĂ©, la tĂȘte dans les Ă©toiles Chaque jeudi, du 14 juillet au 18 aoĂ»t ainsi que les mardis 2, 9 et 16 aoĂ»t , la CitĂ© de l’espace ouvre ses portes en nocturne et vous accueille de 10h Ă  23h autour d’animations inĂ©dites : profitez des expositions, spectacles et animations en continu ainsi que d’une ambiance inĂ©dite du site. Salut si lui, ça ne lui pose pas de pb, il va avoir du mal Ă  arrĂȘter. C'est une addiction comme une autre, enfin pas tout Ă  fait, mais comme la clope quoi, et on arrive Ă  arrĂȘter pour soi, mais pas Ă  tenir sur la durĂ©e si c'est pour qqnJe crois qu'une des questions, c'est pourquoi il a besoin de fumer des joints, pour se dĂ©tendre, pour oublier sa journĂ©e de taf, pour dormir ? Commentavoir 20/20 Ă  la dissert du bac philo. Mircea Austen 16 juin 2019 93. Partager. madmoizelle. Jobs et Ă©tudes. Voici la mĂ©thode simple et Aubout de la Terre, il se passe des choses. Des choses qui sont dans l'air du temps. Finalement Paris/le bout de la Terre, mĂȘme combat? L'Ă©chelle n'est certes pas la mĂȘme, mais il n'est nul besoin de rejoindre la capitale pour trouver des gens stylĂ©s, pour assister Ă  des concerts gĂ©niaux, pour manger des mets délicieux, pour rencontrer des gens incroyables, pour shopper GuyFoissy est un dramaturge français nĂ© le 12 juin 1932 Ă  Dakar et dĂ©cĂ©dĂ© le 11 juin 2021 [1].. Biographie. Guy Foissy passe toute son enfance en Afrique-Occidentale française (Soudan français, Dahomey), il arrive Ă  Paris en 1946.Il a quatorze ans quand il Ă©crit sa premiĂšre piĂšce en alexandrins (Nous habitons tous Charanton).En 1964, il Ă©crit L'Arthrite. 7pbag0. GOCMEN via Getty Images Se prĂ©parer Ă  une thĂ©rapie peut-ĂȘtre rassurant. GOCMEN via Getty Images THÉRAPIE - Vous venez de fixer votre premier rendez-vous pour suivre une thĂ©rapie. C’est peut-ĂȘtre votre toute premiĂšre sĂ©ance. Ou peut-ĂȘtre que vous avez dĂ©jĂ  parlĂ© Ă  quelqu’un par le passĂ© et que vous vous apprĂȘtez Ă  consulter un nouveau thĂ©rapeute. MĂȘme si vous savez que votre dĂ©marche est positive, il est possible que vous Ă©prouviez une certaine apprĂ©hension. “C’est normal d’ĂȘtre nerveux ! Pour la premiĂšre fois, vous allez rencontrer quelqu’un qui va probablement vous poser des questions vraiment personnelles et dĂ©licates sur le plan Ă©motionnel et avec qui vous ĂȘtes censĂ© vous montrer honnĂȘte et ouvert”, dĂ©clare au HuffPost Gina Delucca, psychologue clinicienne Ă  San Francisco. “C’est une situation trĂšs peu naturelle et stressante, et en tant que thĂ©rapeutes, nous essayons d’ĂȘtre sensibles Ă  cela.” Afin de vous aider Ă  aborder sereinement votre premier rendez-vous, nous avons demandĂ© Ă  des thĂ©rapeutes de partager les sujets Ă©voquĂ©s avec leurs patients lors de la premiĂšre sĂ©ance. Ces professionnels de la santĂ© mentale expliquent ce qu’il faut savoir pour dĂ©marrer ou reprendre une thĂ©rapie du bon pied. Les questions qui vous seront probablement posĂ©es Voici les questions les plus frĂ©quemment posĂ©es par les thĂ©rapeutes lors de la premiĂšre sĂ©ance. Avant votre premiĂšre consultation, il vous enverra probablement des documents administratifs Ă  remplir. Parmi eux, vous trouverez un questionnaire dans lequel on vous demandera vos coordonnĂ©es, vos antĂ©cĂ©dents mĂ©dicaux y compris les traitements en cours, si vous avez dĂ©jĂ  suivi un quelconque traitement relatif Ă  votre santĂ© mentale dans le passĂ©, les problĂšmes dont vous souffrez actuellement ou les facteurs de stress que vous rencontrez, ainsi que vos attentes par rapport Ă  la thĂ©rapie. Votre thĂ©rapeute examinera vos rĂ©ponses et vous demandera peut-ĂȘtre de les Ă©toffer avec lui au cours de votre premiĂšre sĂ©ance. Voici certaines des questions qui peuvent vous ĂȘtre posĂ©es et pourquoi 1. Qu’est-ce qui vous a conduit Ă  vouloir suivre une thĂ©rapie aujourd’hui ? Chinnapong via Getty Images Chinnapong via Getty Images Votre thĂ©rapeute souhaite savoir s’il s’est passĂ© quelque chose dans votre vie qui vous a poussĂ© Ă  prendre rendez-vous Ă  ce moment-lĂ . Cela peut ĂȘtre une rupture difficile, un conflit avec un membre de la famille, un niveau d’anxiĂ©tĂ© ingĂ©rable, une agression sexuelle ou un autre changement majeur, comme le fait de devenir parent ou de se lancer dans une nouvelle carriĂšre. “Nous souhaitons connaĂźtre l’élĂ©ment dĂ©clencheur qui vous a conduit Ă  vous faire aider afin de comprendre la nature du problĂšme et ce sur quoi vous souhaitez travailler”, explique Kate Stoddard, thĂ©rapeute conjugale et familiale Ă  San Francisco. 2. Comment avez-vous gĂ©rĂ© le ou les problĂšmes qui vous ont conduit Ă  suivre une thĂ©rapie ? Gina Delucca pose cette question Ă  ses nouveaux patients afin de comprendre la maniĂšre dont ils font face aux situations stressantes et aux Ă©motions difficiles. Se tournent-ils vers quelque chose de constructif comme la mĂ©ditation ou des activitĂ©s de plein air ? Ou bien se reposent-ils sur des habitudes malsaines telles que la consommation excessive d’alcool ou de drogue ? “Il me semble utile de connaĂźtre les ressources et les capacitĂ©s d’adaptation de mon patient afin de les utiliser et d’en tirer parti lors du traitement”, souligne-t-elle. “D’autre part, cela me permet d’évaluer s’il dĂ©veloppe des mĂ©canismes de dĂ©fense malsains qui pourraient exacerber le problĂšme et avoir un impact sur le traitement, comme le dĂ©ni, la consommation de drogue ou l’automutilation.” 3. Avez-vous dĂ©jĂ  suivi une thĂ©rapie par le passĂ© ? Si vous avez dĂ©jĂ  consultĂ© un professionnel, il est probable que vous ayez apprĂ©ciĂ© certaines choses plus que d’autres. Votre thĂ©rapeute actuel peut utiliser ces informations pour vous soigner le plus efficacement possible, a expliquĂ© Danny Gibson, thĂ©rapeute conjugal et familial Ă  Los Angeles. “Si l’expĂ©rience s’est rĂ©vĂ©lĂ©e positive, en quoi l’a-t-elle Ă©tĂ© ? Si cela n’a pas Ă©tĂ© le cas, pourquoi s’est-elle rĂ©vĂ©lĂ©e nĂ©gative, que voudriez-vous faire diffĂ©remment ? demande-t-il. Le patient dirige la sĂ©ance, je joue le rĂŽle de guide.” Si vous rĂ©pondez “non” Ă  cette question, “le thĂ©rapeute peut consacrer plus de temps Ă  vous informer sur la structure, le processus et le fonctionnement de la thĂ©rapie”, prĂ©cise Kate Stoddard. Getty Creative Getty Creative 4. Comment s’est passĂ©e votre enfance au sein de votre famille ? De nombreuses personnes dĂ©marrent une thĂ©rapie pour mieux se connaĂźtre et pour mieux comprendre leurs relations avec les autres. En savoir plus sur l’enfance d’un patient et sa dynamique familiale peut donner un aperçu de la personne qu’elle est aujourd’hui, a affirmĂ© Zainab Delawalla, psychologue clinicienne Ă  Atlanta. “Bien que les gens n’adoptent pas systĂ©matiquement les mĂȘmes rĂŽles que durant leur enfance, le type de relation qu’ils dĂ©veloppent est souvent liĂ© Ă  la maniĂšre dont ils ont intĂ©riorisĂ© certaines attentes liĂ©es Ă  ces rĂŽles dans le passĂ©â€, a-t-elle dĂ©clarĂ©. 5. Avez-vous dĂ©jĂ  songĂ© Ă  vous auto-mutiler ou Ă  mettre fin Ă  vos jours ? Ce type de questions peut faire rejaillir des Ă©motions difficiles chez les personnes ayant dĂ©jĂ  eu des pensĂ©es suicidaires ou avec des antĂ©cĂ©dents d’automutilation, mais il est crucial que votre thĂ©rapeute connaisse ces informations dĂšs le dĂ©part. “La plupart des cliniciens voudront savoir si vous luttez contre des pensĂ©es d’automutilation dĂšs la premiĂšre sĂ©ance afin d’ĂȘtre certains de vous orienter vers le niveau de soins appropriĂ©â€, dĂ©clare Zainab Delawalla. Selon Gina Delucca, si vous rĂ©pondez “oui” Ă  ce sujet, vous pouvez vous attendre Ă  des questions suivies telles que “Avez-vous actuellement des pensĂ©es suicidaires ?”, “Avez-vous un projet suicidaire ?”, “Avez-vous l’intention de passer Ă  l’acte ?” et “Avez-vous les moyens d’aller au bout de ce projet ?” 6. À quel point vous sentez-vous liĂ© Ă  votre entourage ? Hero Images via Getty Images Hero Images via Getty Images La solitude peut avoir de graves consĂ©quences sur la santĂ© physique et mentale. Votre thĂ©rapeute voudra donc savoir si vous disposez d’un solide rĂ©seau de soutien. Dans le cas contraire, il peut vous aider Ă  en dĂ©velopper un. “De nombreuses recherches dĂ©montrent l’importance du soutien social dans le maintien du bien-ĂȘtre psychologique”, indique Zainab Delawalla, “une bonne comprĂ©hension de votre entourage aidera votre thĂ©rapeute Ă  utiliser au mieux cette ressource pour amĂ©liorer le traitement, et Ă  dĂ©terminer si le renforcement de cet aspect devrait faire partie de vos objectifs.” 7. Qu’espĂ©rez-vous accomplir avec cette thĂ©rapie ? “Il est utile de creuser cette question lors de la premiĂšre sĂ©ance pour connaĂźtre les attentes du patient et pour l’aider Ă  mieux apprĂ©hender le processus de changement engendrĂ© par la thĂ©rapie”, explique Kate Stoddard. Lorsque vous dĂ©finissez vos objectifs thĂ©rapeutiques, soyez aussi prĂ©cis que possible sur la maniĂšre dont ces amĂ©liorations pourraient se reflĂ©ter dans votre vie. Au lieu de vous contenter de dire que vous voulez avoir “plus confiance en vous”, rĂ©flĂ©chissez Ă  des indicateurs concrets de ce changement. “Par exemple, comment pourriez-vous savoir que vous avez davantage confiance en vous ? Que feriez-vous diffĂ©remment si c’était le cas ?,” interroge Gina Delucca, “Des objectifs plus concrets et mesurables nous permettent de mieux suivre vos progrĂšs et de savoir si le traitement est efficace.” SeventyFour via Getty Images SeventyFour via Getty Images D’autres façons de prĂ©parer votre premiĂšre sĂ©ance Pour prĂ©parer votre premier rendez-vous, dressez une liste de toutes les questions que vous pourriez vouloir poser Ă  votre thĂ©rapeute. Si vous souhaitez aborder cette premiĂšre sĂ©ance en vous sentant mieux prĂ©parĂ©, voici quelques points Ă  garder Ă  l’esprit selon nos experts Demandez-vous ce que vous recherchez chez un thĂ©rapeute. Chaque professionnel de la santĂ© mentale a son propre style et une approche diffĂ©rente de la thĂ©rapie. RĂ©flĂ©chissez Ă  la maniĂšre dont vous souhaitez que les sĂ©ances se dĂ©roulent. Partagez ensuite ces informations avec votre thĂ©rapeute afin qu’il sache comment travailler au mieux avec vous. “Bien que votre thĂ©rapeute soit un spĂ©cialiste de la santĂ© mentale, n’hĂ©sitez pas Ă  le lui dire si vous savez que vous avez recours Ă  la thĂ©rapie pour ĂȘtre Ă©coutĂ©â€, conseille Kate Stoddard. “Toutefois, si vous ĂȘtes plutĂŽt du genre Ă  vous laisser guider pendant vos sĂ©ances et que vous ne savez pas de quoi parler, il est important de le lui faire savoir Ă©galement.” PrĂ©parez-vous Ă  beaucoup parler. Il y a beaucoup de choses Ă  aborder lors du premier rendez-vous, vous pouvez donc vous attendre Ă  passer une bonne partie de cette sĂ©ance Ă  parler plutĂŽt qu’à Ă©couter. “Lors des premiĂšres sĂ©ances, je pose beaucoup de questions ouvertes, car je veux que les patients se sentent Ă  l’aise pour me dire tout ce qu’ils veulent”, admet Zainab Delawalla, ӈ moins qu’elles ne soient directement liĂ©es aux problĂšmes qu’il souhaite aborder en thĂ©rapie, j’ai tendance Ă  ne pas poser de questions trop indiscrĂštes lors de la premiĂšre sĂ©ance, car je ne veux pas que le patient se sente mis Ă  nu.” Et n’oubliez pas que si vous souhaitez que votre thĂ©rapeute sache quelque chose, vous devez le lui dire. “Bien que nous soyons hautement qualifiĂ©s, nous ne lisons pas dans les pensĂ©es”, a ajoute t-elle. Mais il est normal de ne pas ĂȘtre tout de suite prĂȘt Ă  mettre son Ăąme Ă  nu. MĂȘme si vous souhaitez ĂȘtre aussi ouvert et honnĂȘte que possible lors de votre premier rendez-vous, il est comprĂ©hensible d’avoir besoin de plus de temps avant d’aborder des problĂšmes trĂšs personnels ou des traumatismes passĂ©s. “Nous sommes conscients qu’il puisse parfois falloir un certain temps pour Ă©tablir une relation sereine et de confiance avec nos patients, a dĂ©clarĂ© Delucca. Cela dit, n’hĂ©sitez pas Ă  informer votre thĂ©rapeute si vous ne vous sentez pas prĂȘt Ă  parler d’un sujet en particulier.” KatarzynaBialasiewicz via Getty Images KatarzynaBialasiewicz via Getty Images Sachez que la thĂ©rapie est un lieu pour se sentir entendu, et non jugĂ©. Vous ne devriez jamais vous sentir jugĂ© ou critiquĂ© par votre thĂ©rapeute, quoi que vous pensiez, ressentiez ou viviez. Sa prĂ©sence devrait vous mettre Ă  l’aise plutĂŽt que de vous donner envie de vous fermer comme une huĂźtre. “Il est important de faire attention Ă  votre ressenti lorsque vous ĂȘtes en consultation avec votre thĂ©rapeute”, dĂ©clare Zainab Delawalla, “demandez-vous si vous vous sentez suffisamment Ă  l’aise pour vous ouvrir Ă  cette personne sans peur d’ĂȘtre jugĂ© et si vous pensez que son style de pratique vous correspond.” Si cette personne ne vous convient pas, ce n’est pas grave ; il vous faudra peut-ĂȘtre un certain temps pour trouver un thĂ©rapeute qui vous corresponde. Dressez une liste de toutes les questions que vous souhaitez poser Ă  votre thĂ©rapeute. Si vous voulez en savoir plus sur sa philosophie, ses diplĂŽmes, ses rĂ©fĂ©rences, ou la durĂ©e et la frĂ©quence des sĂ©ances, le premier rendez-vous est le meilleur moment pour obtenir ces informations, prĂ©cise Danny Gibson. Il est possible que vous vous sentiez encore plus mal avant de vous sentir mieux. La thĂ©rapie n’est pas une solution miracle et le processus thĂ©rapeutique prend du temps. Alors, armez-vous de patience, de nombreux problĂšmes ne peuvent pas ĂȘtre rĂ©solus en une ou deux sĂ©ances. “La thĂ©rapie peut lever le voile sur certaines pensĂ©es et sentiments refoulĂ©s jusqu’à prĂ©sent, ce qui pourrait aggraver temporairement certains symptĂŽmes. À terme, votre thĂ©rapie vous apprendra des mĂ©canismes de dĂ©fense efficaces, qui attĂ©nueront ces symptĂŽmes”, conclut Zainab Delawalla. Cet article publiĂ© par Le HuffPost amĂ©ricain a Ă©tĂ© traduit de l’anglais par A voir Ă©galement sur Le HuffPost J’ai eu l’impression d’ĂȘtre entourĂ© de chaleur
 C’était une onde bienfaisante
 Il Ă©tait comme collĂ© Ă  ma peau
 Je me sentais baignĂ©e de joie et d’amour
 » Certes, les variations sont multiples, mais le sens global exprimĂ© demeure fondamentalement le mĂȘme. Des personnes rationnelles tĂ©moignent de l’inouĂŻ, des signes des dĂ©funts, un contact sensible, rĂ©el, avec leurs proches dĂ©cĂ©dĂ©s. Dans tous les cas, il s’agit d’une expĂ©rience spontanĂ©e, survenue sans l’intermĂ©diaire d’un mĂ©dium et le plus souvent dans les premiers jours ou semaines aprĂšs le dĂ©cĂšs. Cette expĂ©rience indĂ©finissable porte un nom VSCD, vĂ©cu subjectif de contact avec un dĂ©funt », ou encore CAD pour communication avec les dĂ©funts ». Des termes qui, pour beaucoup de sceptiques, appartiennent au domaine des impressions, voire des affabulations mais qui, pour ceux qui portent tĂ©moignage, soulagent. Car nommer cette expĂ©rience est dĂ©jĂ  la reconnaĂźtre. Des signes des dĂ©funts qui ne trompent pas De nombreuses personnes ont ainsi des contacts avec des dĂ©funts sans passer par des mĂ©diums. Ce sont des personnes que l’on pourrait qualifier de normales » et qui ne se savent douĂ©es d’aucun don paranormal. Toutes Ă©voquent pourtant des VSCD qu’il est possible de classer en une brĂšve typologie. Les VSCD les plus courants sont d’ordre sensitif Ă©vocation d’une sensation inĂ©dite “d’enveloppement d’amour” et de chaleur intense, un sentiment de paix et de joie infini, tactile on se sent touchĂ© par une prĂ©sence qui parfois peut refaire un geste familier du dĂ©funt, symbolique comme les papillons, les oiseaux ou les arcs-en-ciel, physique une lumiĂšre ou un appareil Ă©lectrique qui s’allume ou s’éteint, une montre qui s’arrĂȘte dĂ©finitivement Ă  l’heure du dĂ©cĂšs, visuel vision partielle ou complĂšte du dĂ©funt, olfactif une odeur Ă©voquant le dĂ©funt. Le VSCD peut survenir aussi dans un rĂȘve oĂč le dĂ©funt transmet un message ou encore une communication avant l’annonce du dĂ©cĂšs. Un exemple frappant a ainsi Ă©tĂ© rapportĂ© Ă  plusieurs reprises celui des dessins d’enfants ayant vĂ©cu en camps de concentration. Alors que ces dessins ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s dans des lieux oĂč la mort Ă©tait omniprĂ©sente, on observe sur plusieurs la prĂ©sence de papillons. La symbolique prend une dimension encore plus forte si l’on se souvient que, dans la mythologie grecque, l’ñme acquiert des ailes de papillon. Ainsi elle peut manifester son amour de diffĂ©rentes maniĂšres
 Sur le mĂȘme sujet Nos proches nous parlent, apprenons Ă  les entendre, l’interview de ValĂ©rie Seguin Le jour oĂč j’ai commencĂ© Ă  communiquer avec les morts TĂ©moignages ils ont reçu un message de leur dĂ©funt, ils racontent Une passeuse d’ñmes nous explique comment dĂ©crypter les signes des dĂ©funts Des chiffres parlants
 Mais peu de recherches sur les signes des dĂ©funts L’expĂ©rience du vĂ©cu subjectif de contact avec un dĂ©funt » ne serait pas si rare. 25% des EuropĂ©ens et 20 Ă  44% des AmĂ©ricains dĂ©clarent l’avoir Ă©prouvĂ©e. Pour l’Europe, une large enquĂȘte a Ă©tĂ© menĂ©e dans 13 pays. Elle porte sur les domaines de la tĂ©lĂ©pathie, de la clairvoyance et du contact avec les morts. Sur ce dernier point, les individus sondĂ©s devaient rĂ©pondre Ă  la question Avez-vous dĂ©jĂ  eu l’impression d’ĂȘtre rĂ©ellement en contact avec une personne dĂ©cĂ©dĂ©e ? De grandes diffĂ©rences par pays apparaissent, puisque les rĂ©ponses positives varient entre 9% et 41% des sondĂ©s. l’Islande en tĂȘte avec 41%, puis l’Italie avec 34%, l’Allemagne de l’Ouest 28%, la Grande-Bretagne 26%, la France 24 %, la Belgique 18%, l’Irlande et l’Espagne 16%, la Finlande et la SuĂšde 14%, la Hollande 12%, le Danemark 10% et la NorvĂšge 9%. En rĂ©sumĂ©, il ressort en moyenne qu’un quart des EuropĂ©ens reconnaĂźt avoir eu un contact direct avec un ĂȘtre dĂ©cĂ©dĂ©. Pour les États-Unis, les estimations, prudentes, annoncent 20% de rĂ©ponses positives Ă  la question. Mais certaines estimations avancent un pourcentage beaucoup plus Ă©levĂ©, notamment chez les parents et les enfants en deuil, les veufs et veuves. MalgrĂ© ces chiffres Ă©levĂ©s, nous n’en sommes encore qu’aux balbutiements de la recherche dans le domaine. A ce jour, il n’existe aucune Ă©quipe de chercheurs qui rĂ©pertorient, de façon systĂ©matique, les rĂ©cits de VSCD, en Ă©cartant ce qui est de l’ordre du psychiatrique hallucinations, dĂ©lires d’interprĂ©tations etc. pour ne s’en tenir qu’à des faits tangibles. Les voies d’investigation sont dĂ©sormais ouvertes
 » constate le psychiatre français Christophe FaurĂ©, spĂ©cialiste de la fin de vie et du deuil. À Ă©couter Anne Tuffigo, mĂ©dium, dialogue avec les dĂ©funts et dĂ©crypte leurs signes Podcast “La mort peut ĂȘtre un cadeau”. Des signes des dĂ©funts racontĂ©s par des proches Depuis que je m’intĂ©resse Ă  ce sujet, les langues se dĂ©lient, plusieurs personnes me parlent spontanĂ©ment d’expĂ©riences comparables. Pour n’en citer que quelques-unes, trois personnes m’ont racontĂ© avoir reçu la visite d’un dĂ©funt ne sachant pas qu’il Ă©tait mort. L’une a Ă©prouvĂ© une forte sensation de prĂ©sence du dĂ©funt auprĂšs d’elle. La seconde a senti un souffle qui la bousculait et a spontanĂ©ment pensĂ© au dĂ©funt. La troisiĂšme personne dormait et a eu l’intuition du dĂ©cĂšs dans un rĂȘve. Toutes trois se trouvaient Ă  des centaines de kilomĂštres du lieu du dĂ©cĂšs. Sophie, la compagne d’un ami rĂ©cemment dĂ©cĂ©dĂ©, me confie que le matin des funĂ©railles, un oiseau a cognĂ© Ă  deux ou trois reprises Ă  sa fenĂȘtre Ă  coups de bec. Elle l’a pris comme un signe. Quelques jours plus tard, alors qu’elle se reposait, elle a cette fois fortement ressenti la prĂ©sence physique de son compagnon dans son lit pendant environ cinq bonnes minutes, comme si, dans un puissant enveloppement d’amour, il la tenait dans ses bras. Ce fut tellement intense, me dit-elle, que j’étais persuadĂ©e qu’il Ă©tait lĂ . Puis j’ai senti qu’il se dĂ©tachait de moi. Et Ă  ce moment-lĂ , je me suis tout de suite retournĂ©e pour voir si cette “prĂ©sence” Ă©tait lĂ  physiquement. Les jours suivants, j’étais pressĂ©e d’aller me coucher car j’avais l’espoir que cette expĂ©rience se renouvellerait, mais cela ne s’est jamais reproduit. » Lire aussi Depuis un an, je suis en contact avec des dĂ©funts PublicitĂ©Ils passeraient aussi par les ondes et le vĂ©gĂ©tal
 J’apprends aussi que lors des funĂ©railles de la mĂšre d’une connaissance, le tĂ©lĂ©phone de la meilleure amie de la dĂ©funte a sonnĂ©. L’écran affichait le numĂ©ro de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e. NĂ©anmoins nul ne se trouvait au bout du fil et aprĂšs vĂ©rification, personne n’avait utilisĂ© le tĂ©lĂ©phone de la dĂ©funte. Troublant non ? D’autant plus que cette connaissance est plutĂŽt rĂ©fractaire Ă  ces sujets. Ce phĂ©nomĂšne tĂ©lĂ©phonique figure parmi les Ă©tudes rĂ©alisĂ©es sur les VSCD. Autre signe assez surprenant encore, perçu Ă  travers le vĂ©gĂ©tal deux personnes m’ont rapportĂ© un tĂ©moignage similaire. L’une d’entre elles a vu la plante que lui avait offerte son frĂšre dĂ©cĂ©dĂ© refleurir le lendemain de son dĂ©cĂšs, la plante Ă©tait pourtant morte et ne recevait aucun soin depuis des mois. Elle n’a jamais refleuri ensuite
 À lire Les morts nous entendent-ils ? Peut-on communiquer avec eux ? Une mĂ©dium nous Ă©claire sur le sujet ! Au-delĂ  du cercle des intimes Au dĂ©part, le pourcentage relevĂ© par les Ă©tudes d’une personne sur quatre ayant reçu ainsi un signe d’un dĂ©funt, m’a paru incroyable. Mais je me suis vite aperçue qu’il suffisait que je parle de ma propre expĂ©rience de VSCD, ressentie lors du dĂ©cĂšs de mon pĂšre phĂ©nomĂšne qui a durĂ© 3 jours et demi !, pour que d’autres que moi osent Ă  leur tour en parler. La plupart des gens craignent tout simplement de passer pour des illuminĂ©s ! En attendant plus de confirmations scientifiques de ces phĂ©nomĂšnes, le partage d’expĂ©rience demeure une maniĂšre d’en attester. Sans cela, combien de fois ne passerait-on pas Ă  cotĂ© de ces phĂ©nomĂšnes, sans savoir que c’est peut-ĂȘtre notre cher dĂ©funt qui nous envoie un signe
 À moins que nous ne prĂ©fĂ©rions qualifier tout cela de hasards »  À lire ValĂ©rie Seguin, est l’auteure du film “Et si la mort n’existait pas” visible sur Youtube et du livre “Les trois jours et demi aprĂšs la mort de mon pĂšre” Editions Les ArĂšnes, 2015, un tĂ©moignage enquĂȘte aux frontiĂšres de la mort. La retraite Ă©tant conditionnĂ©e par les cotisations que vous avez acquittĂ©es au cours de votre carriĂšre professionnelle, moins vous avez cotisĂ©, moins votre retraite sera Ă©levĂ©e. Mais plusieurs dispositifs vous assurent un minimum. L’Aspa, une allocation de solidaritĂ© pour personnes ĂągĂ©es Si, tout confondu retraite personnelle, pension de rĂ©version
, vos revenus restent trĂšs faibles, vous pouvez demander Ă  percevoir l’Allocation de SolidaritĂ© aux Personnes AgĂ©es Aspa.L’Aspa a pour but de porter vos ressources Ă  un niveau minimal depuis le 1er janvier 2022, les montants sont 11001,36€ par an, soit 916,78€ par mois pour une personne seule, 17078,72€ par an, soit 1423,31€ par mois pour un couple. Vous percevez cette allocation intĂ©gralement si vous n’avez aucune ressource. Sinon, vous percevez la diffĂ©rence entre ces plafonds et vos Aspa, ex-minimum vieillesse c'est combien? Les conditions pour percevoir l'Aspa - Vous devez avoir atteint l’ñge de 65 ans pour prĂ©tendre Ă  l’ASPA ou 62 ans si vous ĂȘtes reconnu inapte au travail et/ou atteint d’un taux d’incapacitĂ© de 50% devez aussi rĂ©sider rĂ©guliĂšrement en France au moins 6 mois dans l’annĂ©e. Vous devez la demander L'ASPA n’est pas versĂ©e automatiquement, vous devez en faire la demande Ă  votre caisse de retraite de base ou, si vous en avez plusieurs, Ă  celle qui vous verse la retraite la plus Ă©levĂ©e. Si vous n’avez aucune retraite, vous devez remplir ce formulaire et le remettre Ă  votre mairie.

il s en passe des choses dans ma cité