Court mais essentiel. À la limite de la philosophie. Alexandre Jollien est "anormal". Voire, aux yeux de certains, "un débile". Quel débile La parole fonctionne au ralenti mais l'esprit est bien là, vivant, incisif. Plus humain que jamais. Que personne. Le "métier d'homme" ne consisterait-il pas à "éviter la blessure engendrée par des considérations trop hâtives, de s'astreindre Lavie est bien trop courte pour la perdre à paraître, s’effacer, se plier, dépasser, trop forcer. Quand il nous suffit d’être, et de lâcher tout combat que l’on ne mène bien souvent qu’avec soi, pour enfin faire la paix, être en paix. Et vivre. En faisant ce qu’on aime, auprès de qui nous aime, dans un endroit qu’on aime Petittraité de l'abandon - Alexandre JOLLIEN. Bonjour, J'ai découvert avec plaisir Alexandre JOLLIEN lors d'une émission , La Parenthèse Inattendue sur France 2. Son caractère, son enthousiasme, sa manière de relativiser et d'apprécier la vie m'ont conquise. C'est donc avec engouement que j'ai commandé plusieurs de ses ouvrages sur Amazon. Voilàun petit livre. Court, mais essentiel. À la limite de la philosophie. Alexandre Jollien est "anormal". Voire, aux yeux de certains, "un débile". Quel débile La parole fonctionne au ralenti mais l'esprit est bien là, vivant, incisif. Plus humain que jamais. Que personne. Le "métier d'homme" ne consisterait-il pas à "éviter la blessure engendrée par des considérations trop Despensées en vrac, à l’un des innombrables tournants de l’existence. Un mien camarade qui cherche la sérénité m’a prêté Petit traité de l’abandon d’Alexandre Jollien, philosophe et handicapé physique. Ça rejoint un grand nombre de réflexions que j’ai en ce moment, sur l’acceptation de soi, du handicap, de l’âge, de  "Presque" sortie en salle le 26 janvier. Louis (Bernard Campan) un croque-mort, et Igor une personne handicapée (Alexandre Jollien) se Aimé par Michèle Roques. Nous vous souhaitons un bon week-end, plein de vie ! Nous vous souhaitons un bon week-end, plein de vie ! Aimé par Michèle Roques. La résilience est une des forces des personnes autistes et neuroatypiques. Cescitations l’assurent : croire en soi, coûte que coûte, en sa capacité à réaliser ses rêves et atteindre ses objectifs est une composante essentielle de votre mental d’acier. « Vous devez croire en vous-même quand personne d’autre ne le fait. » Serena Williams. « Croyez en vos rêves et ils se réaliseront peut-être. Alexandre– Black Belt. Le forum de 7-Shapes › Forums › Présentez-vous ! › Alexandre – Black Belt. Ce sujet contient 4 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Julien, le il y a 3 mois et 2 semaines. Vous lisez 4 fils de discussion. Auteur. Messages. Alexandre. Participant. Bonjour, 20 ans d’industrie, avec des expériences dans différents Lavie est trop courte et trop précieuse pour la passer à nous distraire et à accumuler un trésor périssable. Cherchons plutôt à en comprendre le sens véritable et à enrichir notre âme. Socrate. 101. La vie est trop courte et trop précieuse pour qu'on la gaspille et qu'on en fasse un enfer. Il vaut mieux la vivre positivement et Lavie est bien trop courte pour la perdre à paraître, à s’effacer, à se plier, à dépasser, à trop forcer. Quand il nous suffit d’être, et de lâcher tout combat que l’on ne mène bien souvent qu’avec soi, pour enfin faire la paix, être en paix. Et vivre en faisant ce qu’on aime, auprès de qui nous aime, dans un endroit qu UdnXtm. La vie est bien trop courte pour perdre son temps à se faire une place là où l’on en a pas, pour démontrer qu’on a ses chances quand on porte tout en soi, pour s’encombrer de doutes quand la confiance est là, pour prouver un amour à qui n’ouvre pas les bras, pour performer aux jeux de pouvoir quand on n’a pas le gout à ça, pour s’adapter à ce qui n’épanouit pas. La vie est bien trop courte pour la perdre à paraître, s’effacer, se plier, dépasser, trop forcer. Quand il nous suffit d’être, et de lâcher tout combat que l’on ne mène bien souvent qu’avec soi, pour enfin faire la paix, être en paix. Et vivre. En faisant ce qu’on aime, auprès de qui nous aime, dans un endroit qu’on aime, en étant qui nous sommes, Vraiment. » De Alexandre Jollien, philosophe et écrivain suisse. 122 Posts Explore topics Remarquable... "La vie est bien trop courte pour perdre son temps à se faire une place là où l’on en a pas, pour démontrer qu’on a ses chances quand on porte tout en soi, pour s’encombrer de doutes quand la confiance est là, pour prouver un amour à qui n’ouvre pas les bras, pour performer aux jeux de pouvoir quand on n’a pas le gout à ça, pour s’adapter à ce qui n’épanouit vie est bien trop courte pour la perdre à paraître, s’effacer, se plier, dépasser, trop il nous suffit d’être, et de lâcher tout combat que l’on ne mène bien souvent qu’avec soi, pour enfin faire la paix, être en vivre. En faisant ce qu’on aime, auprès de qui nous aime, dans un endroit qu’on aime, en étant qui nous sommes, Vraiment."Alexandre Jollien - "philosophe et écrivain suisse"_________________Que chacun rétablisse la cohésion avec son propre Cœur, cela seul suffit...Car en ce Cœur se trouve le Dieu suprême, créateur de l' sur la quête spirituelle, lien ci-dessous Les "élites" ne sont de nos jours en majorité que des manipulateurs d'opinion et des profiteurs d'un système malade de la pire des tares, le néolibéralisme prédateur. Les "managers" produits de "grandes" écoles et reproduisant les "concepts" dont on les a gavés ont remplacé bon nombre de vrais chefs, ayant progressé dans leur métier et sachant remplacer n'importe quel de leurs subordonnés si, si... j'en ai connu. Les anciens ne sont vus que comme des coûts, les nouveaux comme des ressources sous-payées à exploiter avant d'être jetées, et on s'étonne que tout déraille? Le bordel. Dans les transports, les hôpitaux, les restaurants, le tourisme, la finance et ailleurs. Il n'y a jamais eu autant de managers et cela n'a jamais été aussi mal managé. Comme si on ne savait plus faire ce que l'on savait faire avant. Avant le covid, avant la guerre, avant l'inflation. C'est le résultat d'une gouvernance comme on dit désormais, "à l'os". A flux tendu. Court-termiste. Le travail ralentit pour cause de covid, on licencie massivement, on envoie en pré-retraite. Oups, il arrive un jour où il faut à nouveau "livrer le produit". Et on en est incapable. Et les gens ne veulent plus revenir pour des salaires et des horaires de merde, c'te surprise. Il y a un deuxième élément, peu mis en avant jusqu'à présent, c'est que dans le management à l'os, on a dégagé les plus coûteux, donc beaucoup de "seniors" qui ont ce que l'on appelle du "métier" et qui savaient précisément "livrer le produit". Aujourd'hui, il y a dans les boîtes des cohortes de stagiaires ou de CDD jetés au front sans formation, de community managers, de jeunes issus d'écoles de marketing, et peu de personnes qui connaissent le métier, l'aiment, et ont choisi d'y consacrer leur vie. Au premier stress, à la première crise, le système s'effondre et les capés ne sont plus là pour ramasser les morceaux, ni pour transmettre les processus. Donc, panique, grèves, chaos. Et juste pour dire, il va y avoir encore beaucoup de stress et encore beaucoup de crises. C'est absurde de ne chercher que des "talents" de 35 ans avec 20 ans d'expérience, ce qui n'existe pas, et de laisser des dizaines de milliers de personnes d'expérience à la maison. Et des dizaines de milliers de jeunes sans expérience devant Netflix. Il va falloir remixifer pardon pour le barbarisme et revaloriser tout ça. Sinon, le management à l'os risque de l'avoir dans l'os. 37 Posts Explore topics

alexandre jollien la vie est bien trop courte