THÉÂTRE- Au Théâtre La Bruyère, à Paris, 24 heures de la vie d'une femme, d'après Stefan Zweig, est raconté pour la première fois en musique et chansons dans une mise en scène épurée. Ilfait représenter son Théâtre de la Révolution et Romain Rolland (sous-titrée Notes intimes du professeur R de D, tr. fr. 1948), Vingt-quatre Heures de la vie d'une femme (Vierundzwanzig Stunden aus dem Leben einer Frau, tr. fr. 1929, révisée 1980) et Destruction d’un cœur (Untergang eines Herzens, tr. fr. 1931). Vingt-quatre Heures de la vie d'une femme, 1927. Un Nombrede personnages: 7, distribution modulable Nombre d'acteurs: 7 (6F et 1H) Âge: 13 ans et plus Durée: 20 minutes Genre: Comédie Thème: Une comédie de la vie Auteur: Andrey Myasnikov. Résumé: Des enfants arrivent à l'hôtel « Bellevue » pour y passer leurs vacances. À cause de leur caractère et de leur point de vue différents, ils se divisent en deux camps. AuThéâtre espace Marais. Scandale dans une pension de famille de la riviera, c’est ce dont je me souviens en premier. Une créature sans moralité, madame Henriette s’était enfoui avec un jeune homme qui pourtant la connaissait à peine. c’est Dansles prochains épisodes de "Plus belle la vie", Mirta va enfin découvrir le visage du père Luc, avec qui elle a développé une relation Cettefemme de talent que les moins de 20 ans sont peu à connaitre souffle ce 24 juillet 2020 sa 93e bougie. L'occasion de revenir sur la vie de cette brillante intellectuelle. Dès sa prime jeunesse, Claude Sarraute est animée par le monde de la scène. Elle obtient son baccalauréat au sein de la prestigieuse école alsacienne de Paris et ThéâtreRive Gauche - 24h de la vie d'une femme 24h de la vie d'une femme De Stefan ZWEIG Adaptation Eric-Emmanuel SCHMITT Mise en scène Steve SUISSA Avec Clémentine CELARIE Loris FREEMAN Samuel NIBAUDEAU DU 10 AVRIL 2015 AU 3 JANVIER 2016 DU 22 DECEMBRE AU 03 JANVIER INCLUS - DERNIERES Les mardis et mercredis à 19h Les thnet heures, vie, femme, joseph, morana, theatre, contemporain, net, culture, théâtre, spectacle, planches, scène, art, dramatique, comédie, tragédie Unhomme, une femme,un ballon . EVENEMENT . ONE MAN SHOW. 31. Août 2022 20:00. LUCIE CARBONE. La vie, cette coquine ! EVENEMENT. STAND-UP. 01. Sep 2022 21:15. Merwane Benlazar. Voici mon spectacle ! STAND-UP. 02. Sep 2022 20:00. REY MENDES. Bienveillance et finesse d’esprit ! EVENEMENT. STAND-UP. 02. Sep 2022 21:15. LOUIS 1865 Monte Carlo. Mrs C., aristocrate anglaise, veuve, rencontre au Casino un jeune Polonais, anéanti, dévoré par la passion du jeu. Démarrent 24h de combat, de luttes, de paroles, de colère, de larmes de supplication, d’ivresse, de passion qui transformèrent ces deux êtres WQAw. Time Out dit24 heures d'une passion fulgurante et e-mail que vous allez vraiment aimerVous ne pourrez plus vous passer de notre newsletter. Grâce à elle, découvrez avant tout le monde les meilleurs plans du entrant votre adresse mail, vous acceptez nos conditions d'utilisation et notre politique de confidentialité et de recevoir les emails de Time Out à propos de l'actualité, évents, offres et promotionnelles de nos partenaires.🙌 Génial! Vous êtes inscrit!Merci de vous être inscrit! N'oubliez pas de jeter un œil dans votre boîte mail, pour découvrir très bientôt votre première newsletter! ©Atlanti-culture"24h de la vie d’une femme" pas facile d'adapter Stefan Sweig en BDavec Dominique Clausse pour Culture TopsBD24h de la vie d’une femmed'OtéroEd. Glénat120 €RECOMMANDATIONBOF !THEME 24h de la vie d’une femme » est la version BD de la nouvelle du même nom, de Stefan l’origine, l’histoire est celle d’une femme âgée, confrontée à un souvenir de jeunesse obsédant, dont elle va se libérer par la grâce d’une confession au narrateur il va être question d’une passion éphémère avec un jeune joueur de casino gravement l’histoire originale se déroulait à Monte-Carlo au début du XXème siècle, Otéro la transpose dans l’univers moderne de Las Vegas. Cela n’empêche pas l’auteur d’être fidèle au récit de l’écrivain autrichien, se permettant tout de même quelques originalités sur lesquelles je FORTSAvec également une belle gestion des cadrages et des décors, l’originalité du traitement de l’histoire est un des rares points forts que je garderai de cette lecture. Moderniser ainsi le contexte est une bonne idée, qui peut donner l’envie à de jeunes lecteurs de découvrir l’œuvre de Zweig. La couverture de l’album est aussi une belle réussite, elle donne envie d’aller plus loin, avec sa composition graphique qui transmet beaucoup d’émotion, comme une belle promesse de FAIBLESMais hélas, cette belle promesse ne m’a pas semblée tenue. Peut-être avez-vous déjà éprouvé cette sensation une couverture d’album attire votre regard au rayon BD de votre libraire, et vous êtes tout de suite déçu lorsque vous l’ouvrez et découvrez un contenu au style très faut dire que le graphisme d’Otéro est très particulier. Si vous connaissez sa série la plus connue, Amerikkka, sur la lutte contre le Ku Klux Klan dans l’Amérique contemporaine 10 volumes en collaboration avec Roger Martin, chez Emmanuel Proust Editions, vous comprendrez ce que j’essaye de dire c’est un peu le style d’un comics américain pour enfants, utilisé pour des récits adultes. S’il convient à Amerikkka, il n’en n’est pas de même pour ces "24 heures de la vie d’une femme". Le dessin manque totalement de subtilité, ce qui pose forcément un problème quand on veut adapter du Stephan la décharge d’Otéro, l’exercice n’est pas aisé pour cette nouvelle qui se prête peu à la Bande Dessinée. L’intrigue originale met en valeur l’intensité émotionnelle de ce couple dissonant, la bourgeoise amoureuse et le jeune joueur addictif, et donc, l’image doit traduire cette ne pouvait clairement pas relever ce challenge. Alors, il compense maladroitement en rajoutant des effets de style à l’histoire originale. Le mariage à la mode Vegas », qui casse le fil narratif de Zweig ; les love » et hate » tatoués sur les mains du jeune joueur, hommage saugrenu à Robert Mitchum dans "La nuit du chasseur" ; mise en abyme finale un peu DEUX MOTSZweig a déjà intéressé les auteurs de BD. En témoignent Le joueur d’échec » de Sala, paru l’an dernier chez Casterman, ou le plus ancien Les derniers jours de Stefan Zweig » de Sorel et Seksik, encore chez Casterman. Dans les deux cas, plutôt des réussites, contrairement à ce qui se passe cinéma, on appellerait cela une erreur de casting Otéro a du talent, Zweig est un écrivain merveilleux, il ne fallait juste pas associer les deux. Et pas à cause de la modernisation du récit, mais vraiment parce qu’Otéro n’a pas, de mon point de vue, le graphisme émotionnel qui aurait pu EXTRAIT Pour le plaisir de relire du Zweig Eloignée pendant vingt ans, comme je l’avais été, de toutes les puissances démoniaques de l’existence, je n’aurais jamais compris la manière grandiose et fantastique dont la nature concentre dans quelques souffles rapides tout ce qu’il y a en elle de chaleur et de glace, de vie et de mort, de ravissement et de désespérance. Cette nuit fut tellement remplie de luttes et de paroles, de passion, de colère et de haine, de larmes de supplication, d’ivresse, qu’elle me parut durer mille ans et que nous, ces deux êtres humains qui chancelaient enlacés vers le fond de l’abîme, l’un enragé de mourir, l’autre en toute innocence, nous sortîmes complètement transformés de ce tumulte mortel, différents, entièrement changés, avec un autre esprit, une autre sensibilité »L’AUTEUR d’après BD GestNicolas Otéro, dessinateur et coloriste, habite Lyon. Toute juste diplômé de l'école Émile Cohl de Lyon en 2001, il réalise, sur un scénario de Roger Martin, sa première série ambitieuse sur le Ku Klux Klan "Amerikkka". La fulgurance de son trait semi-réaliste convient parfaitement à l’univers violent de la série auquel il apporte humour et distanciation. Pour 2007, il se lance dans un projet personnel "Bonecreek", un western post-apocalyptique, tout en continuant la série Amerikkka qui connaît un succès et un écho a également réalisé seul quelques albums, comme "le roman de Boddah", chez Glénat, autour de la mort de Kurt Cobain, ou "les confessions d’un enragé", chez Glénat 2018, il commence une nouvelle série, chez Jungle cette fois, en collaboration avec Franck Dumanche, "le réseau papillon", une histoire d’enfants pendant la seconde guerre mondiale, plutôt à destination d’un jeune "24h de la vie d’une femme"Mots-ClésThématiques Bonjour à tous, Beaucoup parmi vous ont choisi Vingt-quatre heures de la vie d'une femme de Zweig. Ce roman ne se rattache à aucun mouvement littéraire. Si vous voulez le caractériser, vous pouvez parler d'un roman réaliste et d'un roman d'analyse psychologique. Quelques éléments à ce sujet Le genre du roman psychologique est inauguré au xviie siècle avec La Princesse de Clèves 1678,roman de Mme de Lafayette femme de lettres française, 1634-1693 où les doutes, les remords etles atermoiements de l’héroïne face à ses sentiments pour M. de Nemours constituent le sujet de l’œuvre. Fondé sur l’analyse psychologique, ce type de roman connait un nouvel essor auxixe siècle avec des romanciers comme Henry James écrivain anglais, 1843-1916, Virginia Woolf romancière britannique, 1882-1941 ou Colette écrivaine française, 1873-1954, qui cherchent à approcher au plus près la vie intérieure de leurs personnages. C’est également le cas de Stefan Zweig qui s’est imposé en littérature par la finesse de ses analyses psychologiques. Il se propose en effet, dans Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, de percer les secrets du comportement de ses personnages, en particulier ceux de Mme C... et du jeune joueur, tous deux étant sous l’emprise de la passion. Pour ce faire, l’auteur rapporte dans le détail leurs faits et gestes le passage consacré aux mains du jeune Polonais au casino est à cet égard significatif, leurs paroles et leurs silences. De plus, comme toutes les œuvres appartenant au genre du roman psychologique, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme décrit avec minutie l’évolution des états d’âme des protagonistes au cours du récit ainsi, Mme C... passe d’un sentiment purement charitable envers le jeune désespéré qui vient de tout perdre au jeu et qu’elle sent en grand danger à un élan maternel vis-à-vis de cet homme à peine plus âgé que son fils, puis elle finit par s’avouer amoureuse de lui et se montre prête à le suivre au bout du monde. Les personnages se construisent donc progressivement sous les yeux du lecteur. Par ailleurs, la priorité donnée à leur intériorité influe sur les autres composantes du récit, comme le cadre dans lequel évoluent les personnages, qui correspond à leur état d’esprit ou aux événements qu’ils vivent par exemple, à la pluie torrentielle qui s’abat sur Mme C... et le jeune joueur lorsqu’ils sortent désespérés du casino le soir de leur rencontre succède, le lendemain, un temps calme et radieux, à l’image de l’état apaisé des personnages. Je vous propose de commencer par lire aujourd'hui un petit texte trouvé sur internet qui me semble clair, simple. Je vous conseille aussi de lire en complément - d'autres nouvelles de Zweig comme "Le Joueur d'échecs", "Lettre d'une inconnue", "La Pitié dangereuse". - un roman sur la passion du jeu Le Joueur, Dostoïevski - le roman Madame Bovary de Flaubert, roman accusé d'offense à la morale publique et religieuse en 1857 année du procès des Fleurs du mal comme vous le savez une héroïne condamnée par ses lectures romanesques à aller de déception en désillusion, une fin terrible. Vous pouvez aussi en profiter pour découvrir un roman de Paul Auster, intitulé La Musique du hasard. Bonnes lectures ! La scène a pour cadre, au début des années 30, une pension hôtelière bourgeoise de la Riviera, où se côtoient les membres d’une société à la Somerset Maugham, à la Maupassant, où chacun observe chacun, où chacun commente, critique, juge et sanctionne les gestes et les paroles de chacun, au nom d’une morale étriquée appliquée de manière immédiate et arbitraire au vu de la seule superficialité des faits. Le récit est à tiroirs. Le narrateur premier séjourne à l’hôtel, où l’arrivée d’un jeune homme seul, un Français, élégant, courtois, rompt la monotonie des heures et l’indolence guindée des vacanciers. Le nouveau venu fait en effet montre d’une telle amabilité qu’il s’attire l’attention générale et la sympathie de tous, et surtout de ces dames… singulièrement de l’une d’entre elles, Madame Henriette, une trentenaire qui se trouve là en villégiature avec son époux et ses deux enfants. Coup de théâtre vingt-quatre heures plus tard le dandy et la digne Madame Henriette s’envolent sans préavis on ne sait où, au grand dam du mari cocu et au grand scandale de la petite communauté d’estivants conformistes. On comprendra aisément qu’un tel événement, coup de tonnerre pour nos yeux et nos sens, était de nature à troubler violemment des êtres qui n’étaient accoutumés qu’à l’ennui et à des passe-temps insouciants… » L’incident déclenche des discussions, des débats, des controverses voire des disputes sans fin qui permettent à l’auteur de confronter les points de vue bourgeois et l’opinion plus ouverte du narrateur sur l’importance ou non du respect des codes moraux conservateurs et des normes sociales puritaines à propos d’une Bovary » qui plaque enfants et mari vingt-quatre heures après avoir fait la connaissance d’un jeune bellâtre ». Une dame âgée, Mrs C., qui semble touchée par le discours mesuré, non moralisateur du narrateur, le seul de la compagnie à ne pas jeter la pierre à la femme adultère, finit, avec beaucoup de pudeur, d’hésitation et de retenue, par lui proposer de lui confier par écrit une aventure qu’elle a vécue elle-même autrefois, à l’âge de quarante ans, et qui offre une certaine similitude avec l’affaire qui agite et révolte les bien-pensants de la pension. Alors s’ouvre le tiroir recelant le récit second. Cette nouvelle dans la nouvelle entraîne le lecteur dans le monde infernal des casinos. La narratrice raconte avec une intense émotion les circonstances en série qui l’ont conduite, sur un temps identiquement court de vingt-quatre heures, à une relation dont elle conserve grande honte avec un jeune joueur qu’elle décide de sauver du suicide auquel il veut se livrer après avoir tout perdu, y compris son honneur, par addiction irrépressible au jeu. Zweig se livre ici à une captivante étude de la psychologie du joueur, et en particulier à une analyse extraordinaire des mouvements des mains et des expressions du visage du jeune fils de famille, descendant alors ruiné d’une branche de la noblesse ancienne de la Pologne autrichienne, pendant le temps qu’il s’abandonne à sa passion sous le regard épouvanté de la narratrice. La superposition des deux nouvelles, des deux situations, des deux personnages féminins invite le lecteur à réfléchir sur la notion de faute » et de culpabilité sociale », à méditer sur la tendance qui prévalait encore au milieu du siècle dernier à condamner a priori la femme infidèle » cette tendance s’est-elle estompée ?, plus généralement à mesurer l’importance des circonstances par rapport à la nature de l’événement, à admettre que la vie d’une personne peut prendre tout à coup une direction totalement imprévisible, à prendre en compte la liberté privée face au poids de la morale publique, à s’interroger sur le rapport de l’individu à l’argent et au gain, à considérer avec commisération la propension de personnes oisives à discourir avec suffisance sur le comportement d’autrui… L’analyse sociologique, quasi anthropologique et l’étude psychanalytique rappelant que Zweig et Freud ont entretenu une abondante correspondance, intégrées dans un mouvement narratif intense qui emporte le lecteur, font de cette nouvelle à deux niveaux un exemple parfait du genre réaliste. A lire d’une traite. Patryck Froissart

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